Virginie Meyniel, la femme qui voulait devenir une nouvelle Morano

Quand on voit l'excitée UMP Virginie Meyniel, la fausse mère de famille toute contente de voir les prix de la rentrée baisser en rêve grâce à l'action de Saint Nicolas et de son nervi Chatel (lire Bidonnage de Chatel : les prix de la rentrée baissent à l' UMP .. seulement  ) on ne peut s'empêcher d'y voir un clone de Morano, l'autre blonde mastoc qui défend bête et ongles les théories et pratiques du national sarkozysme.

Le modèle Morano est à l'UMP ce que Loana est à TF1. Ca fait toujours de l'audience chez les militants, ça rassure sur l'ancrage populaire via l'aspect poissonnière qu'on n'aime pas trop à neuilly mais qu'on tient à conserver tant il est symptomatique de cette capacité à gueuler plus fort pour prouver quelque chose tout en pouvant à tout moment jouer à la pauvre fille insultée et trainée dans la boue par les méchants, 2 choses qui marchent souvent avec les gens de gauches, perdus dans leur pseudo-intellectualisme et leurs pensées auto-réflexives.

La forte blonde pas très belle a toujours eu de l'audience à droite (voir Marine Le Pen, autre exemple) tant elle peut aussi rassurer sur le fait que le mélange des races ne va pas forcément finir en objet non identifié, grisâtre, uniforme sur lequel les théories de la défense du passé au nom de l'avenir glissent comme un pet de lapin sur une toile cirée.

Parions qu'en 2012, d'autres clones de Morano et soeurs de Meyniel sauront animer la campagne à la manière Lagaffe d'autant plus que le poisson à vendre ne sera vraiment pas frais (sans oublier bien sûr le modèle Dati qui referra son apparition à l'heure de séduire quelques échappés des ghettos à nettoyer au kärcher devant la télé).

Virginie Meyniel, la femme qui voulait devenir une nouvelle Morano | 20 août 2009
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