Dopage aux Jeux Olympiques de Londres mais show must go on

Les Jeux Olympiques de Londres s'annoncent comme le championnat du monde du dopage mais chuttttt .. Show must go on et ne comptez pas sur les journalistes pour en parler ou pour même se taire en silences éloquents quand une "performance" est suspecte.

Tout a bien commencé avec Vinokourov le kazakh, déjà condamné pour dopage, qui gagne le titre olympique de cyclisme à 39 ans.

Bien malin le politicien d'Astana qui s'est fait oublié pendant le tour, se présentant comme un déjà retraité et qui surgit là aux JO.

Mais Vinokourov qui est né dans le dopage organisé de l'ex bloc de l'est n'est rien à côté de l'armée de Ma version natation.

On se souvient de championnats du monde d'athlétisme ou des chinois et chinoises inconnus mettaient des tours d'avance à tout le monde sur 5000 et 10000 mètres notamment. C'était l'armée de Ma dont on n'a plus jamais entendu parler ensuite..

2012 à Londres c'est la version nautique.

Sur 400 mètres nage libre, c'est un chinois de 1m98 Sun Yang qui explose tout le monde.

Certes Sun Yang n'est pas complètement inconu et s'entraîne parfois en Australie avec le faiseur d'Hackett mais en regard de sa tête à l'arrivée et de ses yeux on peut vraiment douter qu'il fonctionne uniquement au banga.

 

Apothéose du dopage à la chinoise de cette première journée avec Ye Shiwen sur 400 mètres 4 nages. Cette chinoise de 16 ans nage la dernière longueur 84 centièmes + vite que la deuxième plus rapide au finish qui est .. chinoise. Ye Shiwen est la première à battre un record du monde depuis la fin des combinaisons ... et ça a en touché même pas une à Alexandre Boyon le monsieur tout lisse de France Télévision ;-)

Dopage aux Jeux Olympiques de Londres mais show must go on | 29 juillet 2012
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